Sciences et avenir - Décembre 2017
Selon une étude de la revue médicale Nutritional Neuroscience, l'alimentation jouerait un rôle dans l'amélioration de l'humeur mais le type d'aliment à privilégier serait différent en fonction de l'âge (adultes avant et après 30 ans).
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Remarques personnelles :
De mon point de vue, trois choses importantes sont à observer :
1/ La nourriture régule l'état de stress intérieur (sensation d'irritation ou de bien-être).
J'ai pu l'expérimenter à titre personnel en choisissant en premier une nourriture de qualité et en constatant une meilleure adaptation aux situations stressantes.
2/ Les besoins du corps humain évoluent en fonction des cycles de vie.
Il y a donc une adaptation de la nourriture à privilégier en fonction de ces différentes périodes.
J'élargirai en incluant dans les cycles naturels à prendre en considération, ceux de la journée (matin, midi et soir), ceux du féminin et sans doute du masculin, ceux de l'activité physique ou intellectuelle et de la mise au repos, ceux de la pleine santé et de la maladie.
3/ Au delà des aliments en tant que tels, la notion de leur qualité doit être intégrée.
Ce que j'appelle qualité, c'est l'aliment le plus naturel possible, à savoir en limitant au maximum les additifs, pesticides et autres substances synthétiques étrangères au corps humain.
Certains colorants alimentaires ont été identifiés comme pouvant déclencher de l'hyperactivité ou des troubles de la concentration.